clin d'oeil

Ils ne le savent pas, mais d'ici quelques temps il risque de partir. Il a peur, mais ne le dit pas. Ses amis lui manquent déjà, mais là vie est ainsi faite. Depuis quelques mois il est perdu, seul , là au milieu de tout. Il sourit faussement aux blagues des uns et accepte les remarques autres en sachant que d'ici peu de temps il va devoir une nouvelle fois fuir. La fuite c'est son job , car il craint et redoute le futur de sa vie. Il constate que la vie des siens évolue et que la sienne est un casse tête chinois. Il ne sait plus où il met les pieds, ni quoi pourrait le sauver. Alors, il avance en silence et cache ses sentiments et  ses désirs au plus profond de son âme. De toutes manières, il s'efface peu à peu.

Ce qui le fait vivre : ses rêves et l'espoir

Ca vit

C’est celui qui croit aux Anges, aux Elfes et aux Fées<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

Qui aime la vie et s’étonne de jour en jour de ses biens faits.

C’est celui qui marche en rêvant sans jamais savoir où il va,

Mais qui rêve de construire son bonheur tout en se suffisant de celui des autres en se disant qu’un jour, il y arrivera.

C’est celui qui rêve de bien être de douceur et de tendresse,

Qui donne par passion, par amour ou par amitié.

C’est celui qui rêve de famille, d’enfants et d’un bonheur infini,

Qui rêve d’une verte maison avec des cris, des pleures et des joies.

C’est celui qui est tantôt naïf, tantôt peureux,

Qui vit dans sa tête, s’y sentant bien et protégé.

C’est celui qui à peur de la réalité mais qui ne feint pas l’affronter,

Qui avance à petits pas et déteste rendre des comptes.

C’est celui qui vit toujours dans l’espoir d’accomplir ses rêves,

Et déteste qu’on lui les gâche.

Seul un rêveur peut comprendre un autre rêveur

Car ils vivent pour le même but : la liberté

Rêveur,

Garçons ou filles

Je suis de ceux là.

Si on cherche à me comprendre

Ce texte n’est rien d’autre que moi.

Amitiés,

Ca vit.

Ce matin elle a bu un p'tit café et fumé une cigarette après s'être réveillée difficilement les yeux embués à cause d'un Weekend bien trop chargé. Au cour de la journée elle a rigolé à deux ou trois reprises, car elle à le rire facile, et pleine de maladresses, le midi,  elle a faillit se prendre les pieds dans une lesse alors qu'elle regardait les feuilles tomber en réalisant que l'automne, son vent frais et sa fraîche température étaient déjà bien arrivés.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />

Ravissante, pleine de rêves et d'espoirs, tout le monde l'adore pour son charme éclatant, sa douceur et sa finesse d'esprit. Dès qu'elle boit, elle est hilare et malgré le fait qu'elle  sache conduire, elle na jamais tenue plus de 10 mn au volant dans Paris...

Je ne sais pas si l’on s’est croisé sans jamais se voir ou si on se connaît. Mais une chose est sûre  elle vit, elle rit. Elle, là, quelque part et moi ici…

Pour ma première intervention sur Clin d’œil, je râle. Oui, Je râle. Forcément puisque en ce mercredi 3 Novembre, l’ « ami » Bush doit et va être réélu. Chance ou malheur à vous de voir. Pour ma part, ça me fait peur et soulève en moi de nombreuses interrogations telles que :

Est-ce que les américains aiment se faire peur ?

Est-ce la faillite d’un système électoral ?

Quel est le véritable rôle des avocats lors des élections ?

Est-ce une volonté électorale ou par peur du reste du monde que les Américains votent Bush ?

Qu’en pensent les états musulmans anti Bush ?

Si les américains votent bush cela signifie qu’ils se replient sur eux-mêmes et ferment leur porte au reste du monde. En 4 ans cela risque de devenir une mentalité nationale et un mal ancré dans les gènes de leur pays. Quelle tristesse, quel gâchis et quel recul pour un pays qui se veut être le plus démocratique du monde !

Eux d’un côté et nous (le reste du monde) de l’autre. Le fossé risque de se creuser et l’incompréhension s’amplifier...

Où en seront nous dans quatre ans ?

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Chaque pays est aujourd’hui spectateur de ce qui se passe aux Etats Unis. Le monde reposait tous ses espoirs sur les épaules de John Kerry.

En était il assez conscient ?  Je ne pense pas.

Nous risquons donc de passer quatre années de plus à craindre les plus grands malheurs du monde (terrorisme, relations internationales, nouvelles guerres…) et force est de constater qu’aujourd’hui la peur a pris une place bien plus conséquente que les aléas de l’économie mondiale...

Inquiétant !... non ?

Note d’espoir : il n’est que midi et le décompte des votes est encore en court dans l’Ohio

Wait and see !